• Dans les boutiques de matériel scolaire, aux États-Unis (celle de Bâton-Rouge c’était School Aids, un paradis !), on trouve des petits livres de lecture individuels plutôt bien faits.

    Ce sont soit des petites histoires classiques, soit des documentaires (un peu dans le style des livres de chez PEMF). Il y en a pour tous les ages et la plupart sont « au programme » des différents grades.

    En me baladant sur Pinterest, je suis tombée sur ce site « We give books », dont je vous copie ici la description : 

    We Give Books gives parents, caregivers, and educators immediate access to a growing digital library of great children's books—books they can read for free, anytime and anywhere they like. For each book read online, we donate a brand new book to a great literacy organization serving young people who don’t have books of their own. The more you read, the more we give.

    En gros, on peut y lire en ligne, gratuitement, tout un tas de ces petits livres. Certains sont disponibles sur Ipad, la plupart le sont sur les autres tablettes qui lisent le flash.

    On y trouve par exemple plusieurs ouvrages de Rosemary Wells, auteure du désormais célèbre « le 100ème jour d’école »…

    We Give books


    Et des documentaires de DK Publishing, un peu l’équivalent de notre Gallimard, dont celui-ci qui me plait bien !

    We Give books

    Allez y faire un tour, si vous enseignez l’anglais par exemple, ou même pour vos propres enfants !

     

     


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  • Je participe au C'est le soir d'Halloween sur Halloween mis en place par Gdine sur son blog Trousse et cartable. En cliquant sur ce logo, vous retrouverez tous les participants.


    C'est le soir d'Halloween


    Je vous propose donc une animation Power Point qui n’est pas du tout de moi… J’vous explique.

    Durant mon séjour en Louisiane, nous avions à notre disposition un site communautaire regroupant des activités pédagogiques pour nos classes d’immersion ou de FLE (il n'existe plus a priori, si je le retrouve je vous donne l'adresse). Une enseignante super impliquée, une vraie mine à idées, y proposait beaucoup de power points directement utilisables.

    En voici donc un, que j’ai remanié en changeant les images pour qu’il soit plus à mon goût.

    C'est le soir d'Halloween

    C'est le soir d'Halloween

    C'est le soir d'Halloween

    C'est le soir d'Halloween

    Je l’ai utilisé avec mes Kindergarten en 2007, puis lors de ma première année de CLIS. Avec les p’tits américains, c’est un support super pour acquérir du vocabulaire et quelques structures de phrases. Avec mes zozos d’ici, c’est aussi utile pour la lecture, avec des phrases répétitives faciles à lire. On peut le rallonger à l'infini, et donc faire "écrire" les élèves.

    Dans les 2 cas, nous avons mis en scène l’histoire avec création de costumes et de décors.

    Quelques liens :

     Télécharger le diaporama --> Power Point -PDF

     Autre lien proposé par une enseignante américaine --> ICI

     Costume de chat --> LA

    Costume de fantôme --> ICI

    Costume de sorcière --> LA

    Costume de hibou -->  ICI

    Costume de citrouille --> LA

    Costume de squelette --> LA

    Des coloriages d'Halloween sympatoches --> ICI

    Un peu d'auto-promo pour une lecture suivie de saison --> LA

    J’ai demandé à un ancien parent d’élève de m’envoyer quelques photos "live" de 2007. Je le remercie chaleureusement d'avoir pris le temps de fouiller dans son ordi!

    C'est le soir d'Halloween

    C'est le soir d'Halloween


    Happy Halloween !


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  • Dans le cadre du Retour au calme et rituels de transition : les brain breaks proposé par Sage, je fais remonter cet article (originalement publié le 07/11/2011) qui regroupe des petits rituels rigolos à mettre en place pour ramener son petit monde au travail. Pour découvrir les articles des autres bloggueurs cliquez -là :

    Retour au calme et rituels de transition : les brain breaks


    Les capacités d’attention et de concentration de mes élèves étant plutôt faibles, il est important de varier les tâches proposées et d’aménager des moments de transition entre elles. Un peu comme dans un morceau de musique, ces pauses aident à matérialiser le passage d’une activité à l’autre, à repérer que l’on change de domaine de travail ou d’organisation, et donc à structurer le temps, à catégoriser les apprentissages.

    Retour au calme et rituels de transitionEn Clis, on peut avoir recours sans hésiter aux stratagèmes souvent utilisés en maternelle.

     Voici deux petits trucs rapportés des Etats-Unis :

    1-Lors des temps où la parole circule, pour ne pas dire chut à tout bout de champ, j’utilise un code visuel (un V de la victoire, ne me demandez pas pourquoi…) pour signifier mon mécontentement à l’enfant ou au groupe d’enfants qui bavarde. J’évite ainsi d’interrompre celui qui a effectivement la parole.

    2-Le « Donne moi 5 » (le « give me five » anglais sonne beaucoup mieux…) : quand je veux la plus grande attention du groupe je dis bien fort « donne-moi 5 ! » en montrant ma main. Ils savent que cela veut dire que j’ai besoin qu’ils mettent en route les 5 « moteurs » de l’attention : arrêter toute activité en cours, me regarder, écouter, se taire, ne pas bouger. Mes élèves aiment beaucoup, je l’utilise cependant avec parcimonie pour que cela reste efficace. J'ai dans ma besace d'autres pistes que je vous propose dans ce tableau. Je serais ravie que vous m'aidiez à le completer!

    Edit du 04/10/2012 : sur son blog, Viviland propose une affiche pour des maternelles --> ICI. PetiteJulie de son coté a ecrit un article sur les codes visuels qu'elle utilise dans sa classe -->  LA

    Pourquoi ?

    Quand ?

    Comment ?

    Recanaliser le groupe

    Après une longue activité collective

    -Etirements, bâillements.

    -Enroulés d’épaule…

    -Auto-massage de la tête : pour se remettre le cerveau en route…

    Se préparer à être attentif

    Avant les activités langagières 

    -Auto-massage des joues, des yeux, des oreilles : on va faire un travail lors duquel vous devrez bien écouter/regarder/articuler, alors préparez vos oreilles/yeux/mâchoires…

    Lors des activités  à leur table

    -Faire le plus d’espace possible sur le pupitre

    -Ne leur faire sortir que le nécessaire

    -Ne distribuer le travail ou le matériel que si rien ne gêne dans l’espace de travail

    -Ne pas donner de consignes tant que les élèves ont quelquechose dans la main…

    Préparer ses « outils »

    Avant les activités d’écriture

    -Echauffement des doigts et des poignets

    -Avec les plus jeunes : jeux de doigts

    Accélérer le rangement

    Après le temps d’atelier

    -Compter jusqu'à 10 : à 10 tout le monde sera à sa table !

    -Mettre une chanson : à la fin de la chanson tout doit être rangé !

    Obtenir et conserver le calme

    Après des déplacements

    -Le bâton de pluie : je demande à un élève de venir le retourner le plus lentement possible

    A la fin d’une séance d’EPS

    -Faire le silence et écouter les bruits extérieurs : je demande ensuite à 1 seul élève de me dire 1 chose qu’il a entendue

    -« Qui m’appelle ? »: jeu classique où un élève se met dos au groupe, et où un autre doit dire son nom en chuchotant et il doit essayer de deviner de qui il s’agit

    Reformer le groupe

    Jeu décroché, parfois après un temps de travail en groupe, pour ressouder la classe

    Un jeu sans grand intérêt pédagogique, les élèves l’aiment beaucoup et font le silence très vite pour pouvoir y jouer !

    -Choisir 3 élèves, les serpents

    -Les autres sont les souris qui dorment (ils mettent la tête dans les bras et ferment les yeux) et lèvent un pouce.

    -Les serpents vont chacun toucher une souris (en serrant leur pouce levé)

    -Ceux qui se sont fait toucher doivent baisser leur pouce

    -Tout le monde ouvre les yeux et ceux qui ont été touchés essayent de deviner par qui

    Entrainer l’attention sélective / Contrôler ses gestes / Anticiper les réactions de l’autre

    Jeu décroché classique, souvent juste avant la cantine ou juste avant une recréation

    Ce jeu apporte silence et calme très rapidement

    -Faire sortir un élève, donner des claves ou tout autre objet sonore à un élève reste en classe

    -L’élève fait sonner les claves sous son bureau

    -L’élève qui est sorti revient et doit, sans se déplacer, trouver qui est le « musicien »

    Entrainer sa mémoire, le repérage dans l’espace et la logique

    Jeu décroché, souvent juste avant la cantine ou juste avant une recréation

    Le jeu favori de mes zozos, et le mien aussi !

    -Faire sortir un élève

    -Envoyer un autre se cacher dans la salle d’à coté

    -Faire revenir le zozo qui était sorti et lui demander : « qui a disparu ? »

    -Pour complexifier, avant de le faire revenir demander aux autres de changer de place



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  • Une vidéo trouvée sur Pinterest.


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  • En un peu plus d'un an de blog, vous avez été 100 000 personnes à passer par ici. Merci de votre passage, parfois discret, parfois accompagné de petits mots doux dans la boite à coucous, dans les commentaires et par mail. J’espère vous avoir aidé un peu dans votre pratique, spécialisée ou non.

    Mes articles ce trimestre auront un peu moins la saveur du "live" mais j'essayerais de mettre en forme quelques réflexions et quelques projets qui pourront peut être vous intéresser. A très vite!

     

    100 000 mercis!


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  • Collègues spécialisés ou non, débutants ou confirmés, stressés ou détendus, impatients ou angoissés....je vous souhaite une bonne rentrée !

    Bonne rentrée !


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  • Dédicace à O. et B. qui ont passé beaucoup de temps à faire des bêtises aux toilettes l'an dernier...Tiens d'ailleurs, pour se rappeler qu'ils y sont aux toilettes, allez voir --> LA.

    Mais que font-ils pendant des plombes aux toilettes ?


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  • Des cartes pour comprendreJe suis ravie de voir sur les blogs fleurir des articles sur les cartes mentales et des idées de démarches intéressantes pour se lancer. A mon tour de continuer ma série d’articles commencée ICI, LA, et LA, en essayant de résumer ce que j’ai mis en place dans ma classe lors de la rédaction de mon mémoire CAPA-SH (téléchargeable sur le site de Daniel Calin).

    Pour faire court, je me suis intéressée à l’intérêt que pouvaient avoir les cartes heuristiques pour mes élèves particuliers dans un exercice de restitution d’un conte.

    Mon idée de départ c’était de leur faire mémoriser un conte pour qu’ils puissent ensuite le raconter à leurs pairs. Sachant qu’ils n’étaient pas tous lecteurs cette année-là, j’ai choisi de leur lire moi-même le conte choisi, d’évaluer ensuite ce qu’ils en avaient retenu pour choisir à bon escient les activités à mettre en place pour les aider à le comprendre et à le mémoriser.


    Ceux d’entre vous qui se lancent dans les cartes mentales en ce moment prennent conscience que le choix des supports est difficile au début, on ne sait pas nous même à quoi va ressembler la carte qu’on veut produire, on a du mal a envisager ce que les élèves vont produire. Une solution ? S’entraîner à la maison, choisir un corpus de textes, essayer de les représenter, se mettre en position d’élève et voir ce que ça donne…


    C’est ce que j’ai fait avec plusieurs contes… pour finir par en choisir un type bien spécifique qui me semblait adapté au profil de ma classe car il regroupe (1) des aides à la compréhension et à la mémorisation mais aussi (2) des obstacles intéressants à analyser.

    Voici le conte que j’ai choisi : « La drôle de maison » --> ICI

    Et dont j'ai ébauché une carte --> LA

    (1) Il s’agit d’un conte de randonnée. Sa structure est cumulative : un jour de vacances, une cruche tombe d’une voiture, des animaux de taille croissante s’y réfugient jusqu'à la chute : un ours casse la cruche et tous les animaux s’éparpillent dans la nature. Une ritournelle vient rythmer la succession des événements. Ce genre de récit sollicite une activité mémorielle intense, reposant sur la représentation des différents éléments dans leur ordre d’apparition. Cette structure est bien connue des enfants. Elle est une aide à la compréhension et à la mémorisation comme l’explique C. Delannoy : «  A l’écoute d’un récit, dès que des indices en nombre suffisant nous indiquent qu’il s’agit d’un récit de tel type, nous activons le schème correspondant qui d’une part constitue une aide à l’interprétation et un horizon d’attente, d’autre part en facilite la mémorisation. » (Une mémoire pour apprendre, 1994, p. 49).

    (2) Voici résumées les principales difficultés du conte pour mes élèves (qui je le rappelle sont en CLIS et ne savent pas tous ce qu’est un lièvre, ou ne comprennent pas tous qui parle dans un dialogue s’ils n’ont pas d’illustrations sous les yeux).

    Difficultés Lexicales

    Difficultés Sémantiques

    Difficultés de représentation

    Lexique à mémoriser : souris, grenouille, lièvre, renard, ours, queue touffue, velu

    Expressions : « qui se mouille »,  « vif comme le vent » et la ritournelle

    Lieu et époque

    Situation initiale / finale

    Ordre d’arrivée des personnages

    Structure des dialogues, inversions.

    Dessiner les animaux

    Représenter les dialogues

    Représenter l’ordre de prise de parole

    Je ne détaillerai pas ici ce que j’ai mis en place pour remédier aux difficultés lexicales et sémantiques, tout est dans mon mémoire , mais je vais essayer de vous restituer la démarche de représentation du conte sous forme de carte mentale avec quelques exemples en images (cependant, il me semble qu’il faut avoir bien en tête que sans ce travail simultané sur le lexique et le sens, le passage « en carte » n’aurait été ni possible, ni constructif à cette étape de leur scolarité)

    Alors concrètement, comment on  fait ? Pour quel résultat ?

    Des cartes pour comprendre

    Pour aboutir à ce résultat, qui peut paraître très opaque à un regard extérieur mais qui reste clair pour son auteur même des mois après, nous commençons par réfléchir ensemble à des symboles. Pourquoi ?

    Mes élèves sont peu enclins au dessin, même spontané. Ils sont très demandeurs de modèles et dévalorisent souvent leurs productions. Quand je leur ai demande de dessiner le conte, cela a provoqué une réaction de rejet de trois d’entre eux. Les autres, même s’ils ont répondu à ma demande, ont produit des dessins qu’ils ne savaient pas toujours reconnaître après coup et donc inopérants en tant qu’indices de rappel en mémoire.

    J’ai donc choisi de faire imaginer à mes élèves un code et des symboles pour représenter simplement et précisément les éléments du conte. Encoder ses propres symboles demande d’être capable de synthétiser l’information, de se focaliser sur l’essentiel, de laisser les détails de côté et d’abstraire les caractéristiques physiques d’un objet.

    En voici quelques uns …

    Des cartes pour comprendre

    Puis on passe a la réalisation de la carte en elle-même. Comme le préconise la démarche heuristique, les élèves dessinent d’abord une image centrale simple à laquelle ils associent le titre de l’histoire

    En voici quelques-unes…

    Des cartes pour comprendre

    Nous découpons ensuite le conte en « Idées Forces », toujours selon la démarche classique de réalisation d’une carte heuristique. En gros pour ce conte, nous en choisissons 5…

    1-Le cadre spatio-temporel : il me semble important de situer l’action dans l’espace et dans le temps. Ce sont deux éléments difficiles à mémoriser pour mes élèves.

    Des cartes pour comprendre

    2-Les personnages : la représentation de la catégorie « personnages » découle du travail de recherche de symboles effectué en grand groupe. Spontanément, les élèves dessinent les symboles dans l’ordre d’apparition des personnages. Certains tiennent à inscrire en toutes lettres les noms des animaux et leurs caractéristiques.

    Des cartes pour comprendre

    3 et 4 -La situation initiale et la situation finale : bien repérées par les élèves, après le travail collectif d’analyse, elles sont facilement schématisées.

    Des cartes pour comprendre

    Pour ces 4 idées forces, le travail peut se faire en autonomie. Il suffit de différencier les supports de travail. Par exemple, on peut tracer au préalable les branches principales pour et ajouter les branches des sous-catégories seulement pour ceux qui le demandent. On peut se libérer du temps pour assister plus particulièrement les élèves en grande difficulté ou qui souhaitent mettre beaucoup de texte sur leur carte (certains chez moi on du mal a se repérer sur l’espace feuille).

    5-Les étapes intermédiaires : la, j’avoue c’est beaucoup plus difficile à « mettre en carte ». Notamment à cause des dialogues et de l’accumulation d’informations. Un étayage rigoureux et appuyé permet d’aboutir à une représentation assez complexe en réinvestissant un travail préalable sur la schématisation : bulles,  numérotation des prises de paroles et, à la demande des élèves, premier mot des phrases à rappeler.

    Des cartes pour comprendre

    Je vous mets ici deux autres réalisations de mes élèves, dont celles de mon petit K., maintenant en IME et et pour qui ce fut un travail très difficile ...mais qu'à sa manière il a reussi à mener à bien!

    Des cartes pour comprendre

    Des cartes pour comprendre

    Il faut environ 5 séances de 30 minutes à des élèves de CLIS pour aboutir à ce résultat, sans compter les séances préalables de questionnement du conte, de recherche de symboles…

    Vous trouverez une fiche de prep de la séquence complète --> LA

    Après une pause de 15 jours, j’ai demandé à chaque élève une restitution du conte avec la consigne suivante  «  Raconte moi l’histoire de La drôle de maison ». J’avais prévu un QCM au cas ou le rappel ne donnerait pas de résultats, et chaque élève a eu le choix de regarder ou non sa carte personnelle avant de commencer sa restitution. Je ne vous détaille pas les résultats ici, mais globalement, les restitutions sont très bonnes, la syntaxe est claire et la carte sert clairement de référence en cas d’oubli de certains détails.

    Ce qui est super intéressant, c’est que mes plus grands se sont emparés de la technique pour créer leur propre conte, en changeant simplement les divers éléments de chaque catégorie…J’ai eu droit au conte de « La niche », ou 5 animaux s’entassent dans une niche de chien bien trop petite, ou de « L’aquarium », ou un énorme requin essaye de rentrer sous un caillou ou se cachent déjà une crevette, une anémone, un poisson et un crabe…

    J’ai vu sur le net des exemples de mise en carte de contes beaucoup plus complexes, s’appuyant sur le schéma quinaire, en particulier dans une classe de 6eme --> ICI.

    Cet article n’est qu’un exemple de démarche, pas un modèle, mais il me semble, de par les échanges que j’ai pu avoir sur les forums ou le blog qu’une fois l’idée de carte heuristique adoptée…c’est le comment faire qui questionne beaucoup, à vous d’essayer et d’adapter tout ça à vos supports, vos projets, vos élèves…

    A vous de jouer !


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  • Des nouveaux liens

    Les blogs ASH commencent à se multiplier, c'est super ! Vous trouverez mes favoris dans la liste de liens sur la gauche. Je viens de rajouter deux petits nouveaux.

    Bienvenue donc dans la blogosphere à Meroute (enseignante en CLIS) et à Onaya (en IME). Longue vie à leurs blogs !


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